PICTS, LE 15 DÉCEMBRE 2023
Il ne reste que 22 candidats : des candidats à la présidentielle se retirent pour renforcer l'opposition
À l’approche des élections présidentielles en République démocratique du Congo, un changement important s’est produit dans le paysage politique. Dans une démarche stratégique visant à consolider la force de l'opposition, quatre candidats à la présidentielle se sont retirés de la course, apportant leur soutien à Moïse Katumbi, figure de proue de l'opposition et ancien gouverneur.
Parmi les candidats qui se retirent figure Seth Kikuni, un jeune entrepreneur et activiste connu pour sa nouvelle perspective sur la politique. Le retrait de Kikuni est une décision calculée visant à renforcer la candidature de Katumbi, car il estime que Katumbi offre la meilleure alternative au président sortant, Félix Tshisekedi.
Retrait de Franck Diongo
Franck Diongo, ancien député et leader du Mouvement progressiste lumumbiste, a également retiré sa candidature. Le soutien de Diongo à Katumbi vient de sa conviction en Katumbi comme un « vrai patriote » et un « homme d'action », capable d'apporter le changement souhaité dans la nation.
Retrait de Matata Ponyo
La scène politique a également été témoin du retrait de Matata Ponyo, ancien premier ministre de Joseph Kabila. Les spéculations suggèrent que sa décision pourrait être liée au fait d'éviter une éventuelle disqualification par la commission électorale pour des accusations présumées de corruption. L'approbation de Ponyo pour Katumbi est enracinée dans sa conviction des qualifications et de la vision de Katumbi pour le développement du Congo.
Retrait de Delly Sesanga
Delly Sesanga, l'ancien secrétaire général de l'Union pour la nation congolaise, a rejoint les rangs des partisans de Katumbi. Sesanga considère Katumbi comme une figure unificatrice capable de rallier à la fois l'opposition et la population autour d'un projet commun pour l'avenir du pays.
Ces retraits témoignent d'un effort concerté visant à unifier l'opposition et constituent un formidable défi pour la candidature du président Tshisekedi à la réélection. Alors que le drame politique se déroule, l’électorat congolais attend avec impatience l’issue de cette élection cruciale.
Retrait de Seth Kikuni
Parmi les candidats qui se retirent figure Seth Kikuni, un jeune entrepreneur et activiste connu pour sa nouvelle perspective sur la politique. Le retrait de Kikuni est une décision calculée visant à renforcer la candidature de Katumbi, car il estime que Katumbi offre la meilleure alternative au président sortant, Félix Tshisekedi.
Retrait de Franck Diongo
Franck Diongo, ancien député et leader du Mouvement progressiste lumumbiste, a également retiré sa candidature. Le soutien de Diongo à Katumbi vient de sa conviction en Katumbi comme un « vrai patriote » et un « homme d'action », capable d'apporter le changement souhaité dans la nation.
Retrait de Matata Ponyo
La scène politique a également été témoin du retrait de Matata Ponyo, ancien premier ministre de Joseph Kabila. Les spéculations suggèrent que sa décision pourrait être liée au fait d'éviter une éventuelle disqualification par la commission électorale pour des accusations présumées de corruption. L'approbation de Ponyo pour Katumbi est enracinée dans sa conviction des qualifications et de la vision de Katumbi pour le développement du Congo.
Retrait de Delly Sesanga
Delly Sesanga, l'ancien secrétaire général de l'Union pour la nation congolaise, a rejoint les rangs des partisans de Katumbi. Sesanga considère Katumbi comme une figure unificatrice capable de rallier à la fois l'opposition et la population autour d'un projet commun pour l'avenir du pays.
Ces retraits témoignent d'un effort concerté visant à unifier l'opposition et constituent un formidable défi pour la candidature du président Tshisekedi à la réélection. Alors que le drame politique se déroule, l’électorat congolais attend avec impatience l’issue de cette élection cruciale.